Des fois tu te dis que si tu prenais un pompe, que tu le chargeais et que tu t’envoyais une bastos en pleine tronche, ça ferait moins mal, et, qu’en plus, ça serait vachement moins salissant. Parce que là, j’ai mal à mon Cowboy Bebop.
1, 2, 3,…, let’s jam !
En application de l’arrêté du Président de Perpignan Méditerranée Métropole Communauté Urbaine, se déroule une enquête publique sur le projet de Règlement Local de Publicité intercommunal de Perpignan Méditerranée Métropole, du lundi 4 octobre 2021 au vendredi 5 novembre 2021 inclus, soit pendant 33 jours consécutifs.
Voici l'observation que j'ai déposé dans le cadre de cette enquête.
De prime abord ça partait juste pour être une histoire d’abattage d’arbres. Un truc simple, du déjà fait. Du facile. On ressort le dossier des marronniers de Montesquieu, qui avait bien fait marrer à l’époque, on adapte un peu, et hop, l’affaire est dans le sac.
Sauf que, c’est un peu plus que des chênes sur le coup dont il s’agit.
C’est surtout des magouilles et une vision de la ville qu’il faut dénoncer.
Le truc quand on est enfermé chez soi à partir de 18 h et que l’on sait programmer, dans un sens très laxiste de « savoir programmer », c’est que l’on finit par programmer des trucs. Donc j’ai commencé à mettre à jour une partie des frameworks que j’utilise pour la cartographie.
Et comme il fallait bien cartographier un truc utile, j’ai décidé d’attaquer les caméras de vidéosurveillance.
Et quand je dis « attaquer », on est pas loin du sens militaire du terme.
Le 16 février 2021, en conseil municipal, la municipalité de Perpignan a fait savoir qu’elle désire raser les anciens abattoirs pour y construire un « pôle de proximité de services aux habitants », dans la cadre de la ZAC la Vigneronne.
Ce pôle devrait accueillir des services de la propreté, des espaces verts, de la police municipale, ainsi que des services pour les habitants.
Début février 2020 le site d’information Reporterre a publié un dossier en trois volets sur l’hydrogène en tant que source d’énergie. L’hydrogène est la nouvelle lubie des industriels et des gouvernements occidentaux. Ceux-ci tablent sur cette source d’énergie pour sortir de la dépendance aux énergies fossiles tout en continuant à garder le modèle socio-économique actuel.
Le dossier étant bien réalisé et bien clair, je ne reviendrais pas dessus. Mais le sujet pose des questions que Reporterre ne traite pas. Pourtant elles méritent d’être traitées.
Ayant eu du temps pour moi, j’ai profité de l’année 2020 pour lire 27 livres. Oui, je tiens une comptabilité.
Voici un petit retour sur les livres, plus ou moins, marquant de mon année 2020.
Attention, je précise que je ne suis pas un gros lecteur, d’habitude je lis dix à quinze livres par an, pas plus, et que je n’ai strictement rien à foutre de l’actualité littéraire.
Voici donc un billet plein d’inculture, de mauvaise foi et d’humour pas drôle.
Ce billet a été écrit en écoutant L.A. Woman des Doors. Un très bon album.
… et les vrais écolos sont nyctalopes !
La municipalité vient de livrer, fin 2020, une nouvelle piste cyclable.
Cette piste, longue de près de 1 400 mètres, relie l’avenue Julien Panchot à l’avenue du docteur Jean-Louis Torreille. Dans les grandes lignes elle est un poil inutile et elle a coûté trois sous, qui auraient été plus utiles ailleurs, mais ce n’est pas le vrai problème.
Le problème est, clairement, que pour faire « écologiste » la municipalité, version Jean-Marc Pujol, en a remis une couche question pollution lumineuse.
Y’a pas à dire, la faune nocturne n’est pas gâtée dans le coin.
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Dans le cadre de l’enquête publique portant sur une demande de permis de construire présentée par la société « CS Bel Air », après lecture du dossier d’étude et des observations, j’ai l’honneur de vous faire part de mes observations et de mon avis sur ce dossier.